Notes pour les auteurs
Éducation & formations est une revue scientifique francophone :
- dont les contenus sont soumis à une procédure stricte de validation en double aveugle par les pairs
- diffusée en accès libre, sous licence Creative Commons, sans aucun frais pour les auteurs (modèle Diamant)
- publiée en français
LES TEXTES PUBLIÉS
Éducation & formations est destinée à tous les acteurs du système éducatif, de l’enseignement supérieur et de la recherche mais aussi, de l’évaluation et de la statistique publique. La revue a pour vocation de diffuser des connaissances, des données et des résultats de la recherche. Elle vise tout particulièrement à éclairer l’action et l’analyse des décideurs, et à alimenter le débat public. Les articles sont notamment issus de la recherche en sciences de l’éducation, en sociologie, en sciences politiques, en économie, en démographie, en psychologie dont la psychométrie, et en géographie. Ils s’appuient en particulier sur les données de la statistique publique, mais aussi sur d’autres sources. Ils peuvent également présenter des résultats de méta-analyses ou des méthodes statistiques ou économétriques d’intérêt dans les domaines disciplinaires couverts par cette publication.
Articles de recherche : entre 30 000 et 50 000 caractères espaces compris maximum (notes de bas de page et annexes comprises mais hors références bibliographiques). Ceci correspond à environ une quinzaine de pages pour un article rédigé avec la police Times New Roman, corps 12 pt, interligne 1,5, et mis en page au format A4 avec des marges de 2,5 cm.
Articles de cadrage ou notes méthodologiques : 20 000 caractères espaces compris maximum (notes de bas de page et annexes comprises mais hors références bibliographiques) Ceci correspond à 6 à 7 pages pour un article rédigé avec la police Times New Roman, corps 12 pt, interligne 1,5, et mis en page au format A4 avec des marges de 2,5 cm.
Tout texte soumis doit être accompagné d’un résumé de 1 200 signes maximum espaces compris (qui suit la structure de l’article, fait ressortir la problématique et expose les principaux résultats). Il doit être exempt de notes infrapaginales. Il sera fourni en français et en anglais.
Pour plus d’information, voir la rubrique « Consignes aux auteurs » ci-dessous.
PROCÉDURES D’ÉVALUATION
Les articles de recherche, les notes méthodologiques ou de cadrage, sont soumis à l’évaluation d’un membre du comité scientifique et de deux experts indépendants. La décision finale revient au comité scientifique. L’équipe de rédaction se réserve le droit de refuser, sans évaluation extérieure, les textes soumis qui ne correspondraient pas à la politique éditoriale de la revue.
Les relecteurs de la revue Éducation & formations sont sollicités par la rédaction en chef, sur avis du comité scientifique. Les experts désignés s’engagent, dans le cadre d’une procédure en double aveugle, à réaliser une lecture critique de l’article qui leur est soumis, en formulant des commentaires constructifs, qui permettront à l’auteur d’améliorer sa contribution.
Les commentaires portent sur la qualité générale du travail avec une attention particulière pour la nouveauté des résultats, la qualité des données, la pertinence des choix méthodologiques et la qualité de leur mise en œuvre, la clarté de l’argumentaire, la pertinence du plan, la facilité de compréhension du texte et son respect de la ligne éditoriale de la revue, la lisibilité des tableaux, la pertinence des encadrés, etc. Il est attendu des experts d’assortir leurs commentaires, autant que faire se peut, de propositions alternatives.
Chaque relecteur s’engage à fournir un rapport soit dans un document indépendant, soit en utilisant la grille d’expertise qui lui sera proposée. Les commentaires pourront également être insérés directement dans le manuscrit en utilisant le mode « suivi des modifications » disponible dans les logiciels de traitement de texte. Les relecteurs veilleront à assurer leur anonymat quelle que soit l’option choisie pour l’édition de leur rapport.
Si une contribution reprend in extenso le travail précédemment publié dans un autre support, les relecteurs s’engagent à en informer expressément la rédaction en chef.
Les critères d’évaluation
- Pertinence et originalité de l’article
La problématique est-elle pertinente au regard des objectifs de la revue ? Est-ce que l’article apporte un contenu nouveau ou une analyse critique enrichissante ? Est-ce que la façon d’aborder le sujet et de l’analyser contribue à l’avancement des connaissances ? Est-ce que le thème ou sujet fait l’objet d’une argumentation adéquate ? - Pertinence du cadre théorique et des concepts
Est-ce que le cadre théorique (s’il y a lieu) est bien explicité et cohérent avec la problématique ? Est-ce que les concepts sont clairement définis ? - Pertinence et maîtrise de la bibliographie
Les références bibliographiques sont-elles en nombre suffisant et pertinentes ? Sont-elles suffisamment diversifiées (par exemple en mettant en avant les divergences d’approche ou de constats si c’est opportun) ? Leur contenu est-il retranscrit de façon claire et – pour celles que vous connaissez – fidèle ? De façon globale, les principaux résultats de la littérature sont-ils correctement résumés ? - Cohérence et rigueur de la méthodologie
La méthodologie est-elle clairement expliquée (échantillon, méthode de collecte de données, méthode d’analyse) ? Est-ce que la méthodologie est cohérente avec la problématique ? Permet-elle d’obtenir des résultats pertinents ? - Qualité des données
Les données utilisées sont-elles pertinentes pour répondre aux questions posées ? Ont-elles été correctement expertisées s’il y a lieu (exemple : analyse des valeurs manquantes) ? La construction des variables spécifiques à l’étude est-elle clairement présentée et correcte ? - Qualité de l’analyse et/ou de la discussion
Comment évaluez-vous la richesse de l’analyse et/ou de la discussion ? Est-ce que l’analyse et/ou la discussion des résultats répondent aux objectifs annoncés au début du texte ? Est-ce que la relation entre les interprétations/conclusions et les données/analyses est pertinente ? - Clarté et structure du texte, qualité de la langue
Est-ce que le texte est structuré de manière cohérente ? Les objectifs puis les conclusions sont-ils dégagés clairement ? L’article est-il accessible à un lecteur non spécialiste de la question traitée ? La grammaire, la syntaxe, l’orthographe sont-elles satisfaisantes pour une publication scientifique ?
Les décisions du comité scientifique
- Acceptation pour publication sous réserve de révisions mineures (syntaxe, clarté des figures, petits ajouts ou aménagement du texte) ;
- Acceptation pour publication sous réserve révisions modérées (restructuration, révision de l’argumentaire ou des interprétations) ;
- Demande de révisions majeures, sans engagement de publication de la deuxième version (révision du champ des données, réinterprétation majeure – mais contribution qui mériterait d’être conservée pour l’intérêt de sa problématique) ;
- Proposition de re-soumission. En l’état, l’article est refusé, mais il est proposé à l’auteur de soumettre une nouvelle version de son article qui sera réexaminée par le comité scientifique et fera à nouveau l’objet de nouveaux rapports ;
- Rejet (l’article ne peut être publié).
CONSIGNES AUX AUTEURS
Format : 16 x 24 cm.
La soumission est à envoyer par mail à la rédaction en chef de la revue.
Les auteurs s’engagent à soumettre un article original et à ne pas le proposer à une autre revue avant la réponse de la rédaction en chef de la revue.
La revue Éducation & formations ne publiera pas d’article ayant déjà fait l’objet d’une publication ou qui est en processus d’évaluation par une autre revue (par un autre éditeur). Néanmoins, si des documents de travail ou des preprints ont été diffusés au préalable sur une plateforme de preprints ou sur une archive ouverte institutionnelle, il est possible de les publier dans la revue.
Par ailleurs, il est fortement attendu des auteurs et des autrices qu’ils veillent à présenter avec rigueur leurs données, ainsi que leurs limites. Ils devront être attentifs à fournir toutes les indications nécessaires pour une bonne compréhension de leur propos par des lecteurs éventuellement non familiers du contexte de leur étude ou de son approche.
La rédaction en chef se réserve le droit de renvoyer aux auteurs, avant toute soumission à l’avis des relecteurs, les manuscrits qui ne seraient pas conformes aux modalités de présentation exposées ci-dessous.
Préparation du manuscrit
Les auteurs veilleront à ce que dans les propriétés des fichiers électroniques transmis ne figurent aucune information ou référence permettant d’identifier le ou les auteurs (nom, affiliation, programme de recherche, remerciements, etc.). L’identité des auteurs sera indiquée uniquement sur la page d’ouverture du document (qui ne sera pas transmise aux évaluateurs) sur laquelle figureront les noms des auteurs, leurs affiliations et l’adresse mail de l’auteur référent.
Le manuscrit sera rédigé en français. Il devra être lisible – au moins dans ses grandes lignes – par toutes les communautés scientifiques constitutives du champ de l’éducation, et par les professionnels qui y exercent. Il devra comporter :
– un titre (100 signes maximum espaces compris). Il sera fourni en français et en anglais ;
– un sous-titre : 75 signes espaces compris. Il sera fourni en français et en anglais ;
– les nom, prénom, rattachement institutionnel ou universitaire, et adresse des auteurs, ainsi que l’adresse électronique du contact ;
– un résumé de 1 200 signes maximum espaces compris (qui suit la structure de l’article, fait ressortir la problématique et expose les principaux résultats). Il doit être exempt de notes infrapaginales et sera fourni en français et en anglais ;
– des mots-clés (6 maximum) en français et en anglais ;
– le texte principal du manuscrit, éventuellement assorti de figures, de tableaux, d’encadrés et d’annexes ;
– une liste de références bibliographiques.
Les pages seront numérotées de façon continue dès la page de titre. Une feuille de style est jointe pour faciliter la mise en forme de l’article : en .doc avec des exemples et en .dot pour couler le texte en disposant des styles.
Le texte du manuscrit pour un article (texte, titres, intertitres, texte des encadrés et des annexes, hors références bibliographiques) comportera entre 30 000 et 50 000 caractères (espaces compris). Ceci correspond à environ une quinzaine de pages pour un article rédigé avec la police Times New Roman, corps 12 pt, interligne 1,5, et mis en page au format A4 avec des marges de 2,5 cm.
Le texte du manuscrit pour un article de cadrage ou une note méthodologique (texte, titres, intertitres, texte des encadrés et des annexes, hors références bibliographiques) n’excédera pas, quant à lui, 20 000 caractères (espaces compris). Ceci correspond à 6 à 7 pages pour un article rédigé avec la police Times New Roman, corps 12 pt, interligne 1,5, et mis en page au format A4 avec des marges de 2,5 cm.
Le titre pourra être composé d’un titre principal, qui n’excédera pas 100 caractères (espaces compris), et d’un sous-titre (en français et en anglais). En outre, le corps du texte de chaque article comportera au maximum trois niveaux de titres que l’auteur veillera à bien rendre distincts sur son manuscrit en appliquant un style (titre 1, titre 2 et éventuellement titre 3).
Les notes de bas de page devront être utilisées avec discernement et seront proscrites dans le résumé et dans les encadrés. Elles seront limitées en nombre et en longueur : 550 signes maximum (équivalent à cinq lignes une fois maquetté). Leur numérotation se fera en continu sur l’ensemble du document. De plus, elles seront appelées dans le texte en utilisant la fonction « insérer une note de bas de page ».
Les abréviations ou sigles doivent être explicités lors de leur première occurrence dans le texte. Les termes scientifiques et techniques, ainsi que les unités de mesure et les symboles statistiques doivent être conformes aux normes internationales.
Les formules mathématiques et équations seront numérotées à droite, appelées dans le texte et présentées de façon lisible. Les auteurs utiliseront si possible la fonction « équation » du logiciel de traitement de texte, ou présenteront les formules et équations en format « texte ».
Les tableaux sont soit réalisés avec l’aide d’un tableur (au format .xls ou .xlsx), puis copiés dans le document Word en version modifiable, soit réalisés directement sous Word avec l’outil tableau. Ils seront numérotés selon l’ordre d’apparition dans le manuscrit (par exemple : « Tableau 1 »). Ils doivent être cités à propos dans le texte. Ils sont accompagnés d’un titre, suffisamment explicite par lui-même, sans qu’il soit nécessaire de se référer au texte principal de l’article, ainsi que d’une note comportant les éléments : « Lecture », « Champ » et « Source(s) ». Une page de la revue peut contenir en moyenne un tableau de 40 lignes en corps 6,5.
Les figures peuvent être des graphiques, des cartes, des schémas, etc. Elles seront numérotées et intégrées au texte selon leur ordre d’apparition (par exemple : « Figure 1 », qu’il s’agisse d’une carte ou d’un graphique). Les graphiques sont, à l’instar des tableaux, fournis dans un classeur Excel, et accompagnés du tableau de données correspondant. Ils seront numérotés et assortis d’un titre, d’une légende, et des éléments « Lecture », « Champ » et « Source(s) ». Les graphiques complexes ou les schémas seront fournis sous la forme d’image dans un format vectorisé (.eps, .ai ou .wmf). Les figures ne pouvant être fournies en format vectoriel (scan, photos) seront transmises en .jpg, en 300 dpi. L’ensemble des figures et graphiques doit être cité à propos dans le texte. Veiller à ne pas mettre trop de figures par rapport à la quantité de texte. Les cartes seront exportées en .svg.
Les fichiers et les onglets Excel des figures seront nommés en fonction de leur numérotation dans le texte (Figure 1, Tableau 1, etc.).
Les encadrés seront utilisés dans les articles afin de permettre une mise en exergue de la description des données utilisées, ainsi que de la méthodologie d’exploitation de ces données. Les encadrés peuvent également être utilisés pour présenter un cadre réglementaire ou législatif, ainsi que des éclairages sur un contexte spécifique. Toutefois, les informations présentées doivent être indispensables à l’argumentaire principal. Le cas contraire, ils seront mis en annexes. L’ensemble des encadrés seront numérotés et cités selon leur ordre d’apparition dans le texte (ex. : encadré 1). Ils ne doivent comporter ni figure, ni tableau, ni note de bas de page. Les encadrés ne devront pas dépasser une page, soit 4 500 signes.
Les annexes viennent en complément des encadrés. Elles contiennent des informations pertinentes (réglementation, échantillonnage, statistiques descriptives, etc.) mais non indispensables à l’argumentaire principal de l’article, contrairement au contenu des encadrés. Elles seront également numérotées en chiffre arabe, et citées à propos dans le texte. Le titre des annexes est de 85 signes maximum.
Références bibliographiques
Les citations de références bibliographiques seront faites dans le texte par le nom du (ou des) auteur(s) suivi de l’année de publication. Lorsque plusieurs références sont appelées à la suite, dans une même parenthèse, elles seront ordonnées chronologiquement puis par ordre alphabétique des auteurs, selon le format suivant :
– (auteur 1, année) ;
– (auteur 1 & auteur 2, année) ;
– (auteur 1 et al., année) à partir de trois auteurs, seul le premier auteur est indiqué, suivi de « et al. ». Ajouter autant d’auteurs que nécessaire pour distinguer d’une autre publication le cas échéant.
Exemple :
(Le Donné & Rocher, 2010 ; Daussin et al., 2011 ; Van Zanten, 2011 ; Bacro et al., 2013 ; Hilary & Louvet, 2013).
Les références bibliographiques, quant à elles, seront regroupées en fin de document par ordre alphabétique, puis le cas échéant par année de parution (ordre chronologique). Il doit y avoir une correspondance parfaite entre les citations des références bibliographiques du texte et la liste des références elles-mêmes en fin de document.
Le modèle de présentation de la liste de références bibliographiques respectera le modèle suivant :
Pour un article de périodique, une revue, le nom du périodique et leur numéro sont en italique. Il n’y a pas de mention « p. » pour la pagination.
Nom de l’auteur, Initiale(s) du prénom. (année). Titre de l’article. Nom de la revue ou du périodique, volume(numéro), page ou étendue de pages. Le DOI, s’il existe, doit obligatoirement être mentionné dans les références bibliographiques.
Exemples :
– Bluntz, C., Lemistre, P. (2022). Admission Post-Bac : le portail APB reflet des problématiques d’affectation dans l’enseignement supérieur. Éducation & formations, 103, 7-26. DEPP, SIES. https://doi.org/10.48464/ef-103-013-01
– Piquée, C. (2010). Pratiques enseignantes envers les élèves en difficulté dans des classes à efficacité contrastée. Revue française de pédagogie, 170(1), 43-60. https://doi.org/10.4000/rfp.1520
– Thomas, F. (2022). Résultats définitifs de la session 2021 du baccalauréat. Note d’Information, 22.10. DEPP. https://doi.org/10.48464/ni-22-10
Pour un ouvrage, le titre est en italique :
Nom de l’auteur, Initiale(s) du prénom. (année). Titre du livre (numéro d’édition le cas échéant). Nom de l’éditeur. DOI si existant.
Exemples :
– Brousseau, G. (1998). La théorie des situations didactiques. La Pensée Sauvage.
– Van Zanten, A. (2011). Les politiques d’éducation (2e édition). Presses Universitaires de France.
Pour un article dans un ouvrage collectif ou le chapitre d’un livre :
Nom de l’auteur, Initiale(s) du prénom. (année). Titre de l’article ou du chapitre. In Initiale(s) du prénom. Nom de l’auteur, Titre de l’ouvrage (p.). Nom de l’éditeur. DOI si existant.
Exemple :
– Bacro, F., Florin, A., Guimard, P., Rambaud, A. (2013). L’évaluation du bien-être des jeunes enfants : nouvelles perspectives en psychologie du développement. In A. Florin, M. Préau (dirs.), Le bien-être (p. 71-82). L’Harmattan.
Pour une thèse, titre en italique, mention de la thèse et de l’université entre crochets :
Nom de l’auteur, Initiale(s) du prénom. (année). Titre de la thèse [Thèse de doctorat, Nom de l’établissement]. Nom du site hébergeant la thèse. URL
Exemple :
– Lenoir, M. (2012). Le bien-être de l’élève au collège : représentations des professeurs et des élèves. [Thèse de doctorat en Sciences de l’éducation, Université Lumière-Lyon 2]. thèses.fr. http://www.theses.fr/s22447
Pour un rapport institutionnel, un ouvrage anonyme le titre est en italique :
Organisation ou auteur, Initiales(s) du prénom. (année). Titre du rapport. URL
Exemples :
– Cour des comptes. (2010). L’éducation nationale face à l’objectif de la réussite de tous. La documentation française.
– DEPP. (2022). Repères et références statistiques.